Le pouvoir médiatique

Juste une réflexion, avec mes mots
"Il ne peut y avoir de pouvoir médiatique seul, si en écho il n'existait pas une écoute et un partage" voire encore un subi (mais alors dans ce dernier cas qu a fait l'individu pour en arriver là?) .
Cette écoute et ce partage, pour d'autre ce peut être une opposition systématique où soi-disant réfléchie,procède aussi bien du réflexe que du reçu de la dimension en l'état de l'être dans sa dimension sociale.
D'une part le média, quel qu'il soit, s'exprime avec un ou plusieurs buts avoué ou non,fonction d'une soi-disant actualité, nanti d'une certaine éthique (ou sans) - (quitte à faire en sorte que si elle n'existait pas il faudrait la créer). Il est certain que tous les terrains de la vie se prêtent à ce qui n'est pas un jeu du fait des diasporas (prises aussi bien dans leur sens d'absolu et de relatif, c'est à dire pas seulement au niveau des ethnies ou des peuples disséminés, mais aussi des courants de pensées et de non-pensées.)
L'individu est à la recherche d'information, doit-il pour autant tout gober et ne pas faire en sorte de prendre les moyens de vérifier ce qui se dit, sous couvert d'expression "communautaires" de fait ou d'idées?
A quoi sert donc le libre arbitre de l'individu, si il ne commence pas par l'utiliser face à l'information?
Ainsi face aux médias,il faut garder en conscience que le pouvoir de celles-ci ne peut se développer que face à l'inertie de l'individu qui ne fait que recevoir sans discernement, sans esprit critique suffisant, sans échange avec ses pairs et sans réactions pour faire comprendre que ce qui semble venir "d'en haut" n'est qu'une interprétation de faits et non une vérité absolue, et que cette soi-disant vérité n'est pas figée mais est appeler à évoluer au furet et à mesure des échanges.
Is'nt it?
yannesoganesh

on reçoit, on perçoit, et l'on subit parfois, penser que rien ne peut atteindre notre libre arbitre, parfois, me semble utopique, mais je pense effectivement que notre vigilence doit être présente en tout comme en celle de notre méfiance envers l'autre...

S'ouvrir au autres ne signifie pas perdre notre perception, enfin cela ne devrai pas.

Alors les individus qui sont influencé par les médias ne le seront pas moins dans leur quotidien.